"Cet arbre que j’ai peint hier, je ne le vois plus de la même manière. Je vais y retourner, je n’ai pas dit la circulation de la sève, le frisson particulier du feuillage, le bruit imperceptible, mais à présent, des racines qui travaillent. Je vais y retourner pour confirmation, celle qui m’apprendra à mieux le connaître, à devenir son ami, même quand j’en serai loin, je saurai qu’il est toujours là, tout seul, seul comme le tableau que j’aurai fait". Georges Perros
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